C’est la première fois que je vois une photo de mes cylindres de couleurs peints !
Un grand merci à celle qui a eu cette patience !
Et bon travail à son petit loup… dont on voit le bout du pied !!!
Pour la peinture, A a utilisé la gouache de son fils… et du vernis sans solvant, le tout acheté chez Wesco. Je pense qu’ainsi, s’il y a des retouches à faire… ce ne sera pas trop difficile !!!
Si vous aussi vous souhaitez faire vos cylindres de couleur, vous pouvez les trouver sur 123Montessori… et les peindre !
Commencées il y a 2 ans… Je les avais simplement peintes. Mais je trouve que lorsque l’on peint, sans mettre de réglette sur les côtés, les tablettes ont tendance à coller les unes aux autres.
En plus, au point de vue pédagogique, c’est quand même mieux d’avoir des réglettes pour prendre soin du matériel et le prendre comme il faut.
J’ai donc ajouté des réglettes (coloris ivoire)
Du coup, j’ai dû refaire mes boites !
Pour mes premières boites, j’avais suivi les instructions de l’atelier Montessoriet de la Fabrique Montessori. Elles sont plus grandes que celles du commerce, et que celles de ma 3è boite… faites sur les instructions de Participassions… et que je vous présenterai bientôt.
Question fabrication donc : Pour les boites :
Boite numéro 1 :
Dimensions du fond : 10 cm par 7.1 cm. pour les bords, j’ai utilisé du tasseau de 2.6 cm par 0.9 cm. Ca marche très bien !
Boite numéro 2 :
pour le fond 20.3 cm par 10 cm. pour les bords, j’ai utilisé le même tasseau de 2.6 cm par 0.9 cm.
Pour les tablettes, il faut 6 tablettes pour la première boite et 22 tablettes pour la deuxième.Les miennes mesurent 5 par 7.5 cm, en 0.5 cm d’épaisseur.
Ce n’est peut-être pas très académique, mais je trouve que sans couvercle, c’est plus attirant !
Retrouvez les supports des boites de couleurs dans la boutique :
Pour compléter ma gamme, j’ai aussi fait découper les formes à dessin.
Celles qu’on trouve généralement dans le commerce sont en métal, c’est plus lourd pour tenir la feuille. Mais pour une utilisation familiale, on peut très bien prendre celles-ci qui sont en bois.
Pour la peinture, j’ai utilisé celle ci de chez Marabou, trouvée dans un magasin de loisirs créatifs. Le problème c’est qu’elle est mate. Ce qui n’est pas très heureux.
Du coup, j’ai aussi lasuré les formes déjà peintes avec ma lasure achetée en magasin bio. Cela protège et rend un peu brillant, mais pas trop !
Pour compléter ma gamme, j’ai aussi fait découper les formes à dessin.
Celles qu’on trouve généralement dans le commerce sont en métal, c’est plus lourd pour tenir la feuille. Mais pour une utilisation familiale, on peut très bien prendre celles-ci qui sont en bois.
Pour la peinture, j’ai utilisé celle ci de chez Marabou, trouvée dans un magasin de loisirs créatifs. Le problème c’est qu’elle est mate. Ce qui n’est pas très heureux.
Du coup, j’ai aussi lasuré les formes déjà peintes avec ma lasure achetée en magasin bio. Cela protège et rend un peu brillant, mais pas trop !Pour compléter ma gamme, j’ai aussi fait découper les formes à dessin.
Celles qu’on trouve généralement dans le commerce sont en métal, c’est plus lourd pour tenir la feuille. Mais pour une utilisation familiale, on peut très bien prendre celles-ci qui sont en bois.
Pour la peinture, j’ai utilisé celle ci de chez Marabou, trouvée dans un magasin de loisirs créatifs. Le problème c’est qu’elle est mate. Ce qui n’est pas très heureux.
Du coup, j’ai aussi lasuré les formes déjà peintes avec ma lasure achetée en magasin bio. Cela protège et rend un peu brillant, mais pas trop !
C’est sans doute un pari un peu fou, mais je voulais proposer des cylindres fabriqués en France.
J’ai contacté des dizaines de fabricants de jouets. On m’a fait une majorité de réponses décourageantes, voire désabusées « si les chinois savent faire, je leur laisse… »
D’autres m’ont promis un devis toujours remis à plus tard…
Finalement, un tourneur de la Haute Loire, a accepté de se lancer dans cette aventure avec moi.
C’est un travail minutieux et complexe : 10 diamètres différents pour chaque jeu qui comprend 40 cylindres.
C’est une vraie satisfaction pour moi de pouvoir les proposer dans ma boutique.
Je voulais vous montrer quelques photos des machines qui les ont tournés :
Ce gros tas de blocs, ce sont les blocs destinés aux emboitements, pendant la phase de séchage final.
Là ce sont les machines qui tournent les cylindres, il faut une bonne demi journée de réglages pour changer le diamètre des cylindres… et 5 outils pour les couper…
J’avais pris aussi une photo lorsque nous avons collé chaque bouton de préhension : pour 20 jeux complets… 800 boutons à coller ! Elle a disparu… vous ne verrez pas le beau chantier généré par l’invasion de ces cartons dans mon atelier !
Pendant ces dernières vacances, nous avions décidé, avec mes chères amies de bricolage, de faire des boites à sons (ou boites à bruit).
Nous avons essayé, comme on nous l’a appris en formation, d’utiliser des tuyaux de pvc. Ce n’est pas évident de trouver des bouchons pour les fermer…
Du coup, la solution retenue a été de découper des rondelles en bois dans des barres à rideaux… pas forcément évident, mais avec l’aide de notre ami Paulo, et de la scie à onglets, ça a été assez rondement mené !
Ensuite, nous avons coupé le pvc, sur environ 10 cm.
Ce qui nous en a fait un certain nombre, vu que nous étions 4 !
Nous avons dû raboter les rondelles pour qu’elles s’adaptent.
Puis, moins drôle, les coller à la colle néoprène, là, les gants sont de rigueur !
Ensuite, il faut poncer, l’outil « dremmel » est très utile ! Mais il faut aussi porter un masque, car ce n’est pas vraiment écolo !
Ensuite nous avons rempli avec : des graines, du riz, du sel, du sable, des cailloux et aussi des rondelles métalliques.
Et pour finir, une fois que la deuxième rangée de rondelles de bois a été collée et poncée… quel boulot, merci Carole, nous avons pu coller du papier sur le corps de la boite. Grâce à Caroline, c’est un plastique autocollant de récupération que nous avons mis, il ne risque pas ni de se décoller, ni de perdre sa couleur. Le fini est superbe !
Regardez plutôt :
Enfin pour celles qui n’oseraient pas se lancer dans un tel travail, j’ai vu une autre solution dans un blog, qui me paraît intéressante, pour peu de coller les bouchons pour les bloquer, allez voir là.
Et autrement, n’oubliez pas de visiter la boutique (hum !!! page de pub !)
Lors d’un récent passage chez mon fournisseur favori, entendez Emmaüs, j’ai trouvé, enfin, un collier de perles que j’appelle aloha. Il s’agit de jolis coquillages que nous allons utiliser pour cette dernière étape pour vérifier si les 10 premiers chiffres sont bien acquis.
J’ai complété avec les billets, pris dans cette réserve si intéressante de Participassions. Il faut s’enregistrer pour pouvoir télécharger et là, c’est le document fractions étiquettes que j’ai utilisé.
J’ai ensuite cousu la bourse en prenant une tasse de 8 cm de diamètre environ et un cône de 12 cm environ. Sans oublier un lien « de récup » comme d’habitude !